NIKOLAI BIRILEV

Le 5 février 1865, dans une église orthodoxe russe de Nice, Nikolaï Alexeïevitch Birilev épousa Maria Fiodorovna Tiouttcheva (-1872) (fille du grand poète russe Fiodor Ivanovitch Tiouttchev 1803-1873). Nikolaï Alexeïevitch Birilev sortit diplômé du Corps naval des cadets en 1847. De 1845 à 1855, Nikolaï Alexeïevitch Birilev servit dans la flotte de la mer Noire. Le 30 novembre 1853, il participa à la bataille de Sinop.
Nikolaï Alexeïevitch Birilev prit part à la défense de Sebastopol du 9 septembre 1854 au 5 mai 1855, date où il fut grièvement blessé à la tête par une balle. Le commandement ordonna la défense du 3ème bastion contre les nombreuses incursions des troupes ennemies, au grade lieutenant (capitaine de vaisseau), il commanda les avant-postes. Dans la nuit du 21 septembre 1854, il fit prisonnier deux officiers et plusieurs soldats. Le 11 mars 1855, à la tête de 750 chasseurs, le lieutenant réussit à se saisir d'une batterie de 10 canons. Pour son héroïque comportement lors de la défense de Sebastopol, il fut décoré de l'Ordre de Saint-Georges (4ème classe), de l' Ordre de Saint-Vladimir (4ème classe avec épées) l'Ordre de Sainte-Anne (2ème classe avec épées et la couronne impériale).
De 1859 à 1863 Nikolaï Alexeïevitch Birilev exerça le commandement sur la corvette Posadnik (Посадник), à bord de ce navire, il visita la Chine et le Japon.
Le 30 janvier 1866 décéda la fille de Nikolaï Alexeïevitch Birilev, très affecté par cet évènement, il fut atteint de troubles mentaux probablement aggravés par sa blessure à la tête au cours du siège de Sébastopol. Il demeura dans cet état de démence jusqu'à son décès. Nikolaï Alexeïevitch Birilev décéda en 1882 à Saint-Petersbourg, il fut inhumé au cimetière Novodievitchi aux côtés du poète Fiodor Ivanovitch Tiouttchev.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
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LUDWIG KRIEGELSTEIN
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BENEDICT KRIEGELSTEIN
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GEORGES HERR
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JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
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JEAN GEORGES HERR
MARIANNE BURGER
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JEAN GEORGES HERR
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ANNE CATHERINE HERR
JEAN CONRAD PFEFFEL
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THÉOPHILE CONRAD PFEFFEL
MARGUERITE DIVOUX
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CHRETIEN PFEFFEL
ANNE CATHERINE GERNIER
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CHRISTIAN HUBERT PFEFFEL
CAROLINE VON TETTENBORN
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ERNESTINE PFEFFEL
FEDOR TIOUTCHEV
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MARIA TIOUTCHEV
NIKOLAI BIRILEV

JEAN-LEONARD KOECHLIN

Né le 26 janvier 1870 – Décédé le 12 mai 1951 , à l'âge de 81 ans (Mulhouse). Marié le 7 avril 1894, Paris, avec Marguerite Villard né en 1872. Général de brigade.

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SALOME KRIEGELSTEIN
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MARIA GUNTZER
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ELIAS BIRR
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CATHARINA SCHOEN
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MATHIEU MIEG
CATHERINE BIRR
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MATHIEU MIEG
CLEOPHE ABT
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MARIE MADELEINE MIEG
JEAN DOLLFUS
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DANIEL DOLLFUS
ANNE MARIE MIEG
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MARIE MAD DOLLFUS
JEAN KOECHLIN
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ALFRED KOECHLIN
EMMA SCHWATZ
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JEAN-LEONARD KOECHLIN
MARGUERITE VILLARD

FREDERIC GEORGES HERR

Frédéric-Georges Herr est un général français né le 7 mai 1855 à Neuf-Brisach (68), mort à Paris le 27.10.1932, inhumé à Pont-de-Roide. Fils d'un médecin qui opta pour la France après le Traité de Francfort, il entra à l'École Polytechnique en 1874 et entra dans l'armée, comme le faisaient alors la plupart des polytechniciens. Le 17 septembre 1883 il épousa Anne Peugeot, appartenant à la famille des constructeurs automobiles. De 1895 à 1902, il prit une part active à la campagne de Madagascar sous les ordres du général Gallieni. Général de brigade le 23 mars 1911 puis général de division le 27 octobre 1914, il se distingua aux Éparges en 1915 puis fut chargé de remettre en état les défenses de Verdun (09/08/15-26/02/16) : ce fut lui qui reçut le premier choc de l'offensive allemande. Par la suite il fut directeur de l'artillerie aux armées.
Placé dans le cadre de réserve le 24 octobre 1919, il entra au Conseil d'administration des Usines Peugeot en qualité de membre de la famille.

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GEORGES-BENJAMIN HERR
MADELEINE ROSE
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BENJAMIN HERR
CATHJERINE SIMON
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GEORGES HERR
MARGUERITE CABANET
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FREDERIC GEORGES HERR
ANNA PEUGEOT

JOSEPH-GILLES-MARTIN BRUNETEAU DE SAINTE-SUZANNE.

Comte de l’Empire. Général de division. Sénateur de l’Empire. Conseiller d'Etat
Lieutenant-général. Pair de France. Grand-Officier de la légion d'honneur

Né le 7 mars 1760, à Sainte-Suzanne, commune de Poivres, en Champagne (Aube). Marié à Dorothée Catherine, Zorn de Bulach (1776-1807). Décédé le 26 août 1830, à Paris (Seine). Inhumé dans le tombeau familial de l’ancien cimetière de Hangenbieten (Bas-Rhin), contre le côté sud de la nef de l' église. Il entre dans l'armée et devient lieutenant en premier au régiment d'Anjou en 1779. Lorsque la Révolution française éclate, il en adopte les principes, combat avec distinction dans les rangs de ses défenseurs et se signale à la défense de Mayence. Il parvient rapidement au grade de général de brigade, qu’il obtient en l’an III, et se fait remarquer à l’armée de Rhin-et-Moselle. Le 1er floréal an X, Napoléon Ier le nomme Sénateur ; il est depuis longtemps conseiller d’État et est attaché à la section de la guerre. Il est nommé grand officier de l’ordre de la Légion d'honneur, le 25 prairial an XII. C’est Bruneteau de Sainte-Suzanne qui annonça au ministre de la guerre, l’arrivée d’une flotte anglaise, devant Flessingue (Expédition de Walcheren), et déclara qu’il restera à son poste malgré sa santé chancelante. Dans tout le cours de sa carrière législative, il ne cesse de faire partie de l’opposition constitutionnelle. Il publie en 1819 un ouvrage sur les places fortes qui a obtenu les suffrages du général Lamarque et du maréchal Saint-Cyr.

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MATHIAS GRAFF
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SALOMÉ GRAFF
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EMANUEL ROETTLIN
MARIE-SALOMÉ GOLL
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CLEOPHE ROETTLIN
JEAN-JACQUES GOLL
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CATHERINE-SALOME GOLL
AUGUSTE BARON ZORN DE BULACH
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DOROTHEE CATHERINE ZORN DE BULLACH
JOSEPH-GILLES-MARTIN BRUNETEAU DE SAINTE-SUZANNE.

LOUIS-HUBERT LIAUTEY

Lyautey fut tout à la fois, soldat, pacificateur, colonial, administrateur, négociateur, homme de management et de communication, bâtisseur et urbaniste, écrivain, pédagogue, artiste et protecteur des arts.

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MARIA GUNTZER
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ELIAS BIRR
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MATHIEU MIEG
CLEOPHE ABT
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MARIE MADELEINE MIEG
JEAN DOLLFUS
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DANIEL DOLLFUS
ANNE MARIE MIEG
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MATHIEU DOLLFUS
SALOME KOECHLIN
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ANNA LEONIE DOLLFUS
PHILIPPE DE BOURGOING
I
INES DE BOURGOING
LOUIS-HUBERT LIAUTEY

JEAN-GEORGES VON EDIGHOFFEN

Il entra sous le nom de code Dico, au régiement de Beaune (68ème RI) en 1777.
Il servit pendant 2 ans et prit part à l'expédition contre Gibraltar en 1782.
Congédié pour ancienneté de service, avec le grade de segrent le 8 janvier 1791, il s'engagea le même mois au 6ème bataillon des volontaires du Haut-Rhin au service duquel il fut élu capitaine le 8 août 1792.
Il fit comme tel la campagne de l'armée du Nord de 1792 à 1794, combattit à HondschootE, Maubeuge, Jumet et pris part aux sièges de Charleroi et de Maastrich.
Paré à l'Armée du Rhin an 1796, il servit aux 2 passages du Rhin. A l'armée de Mayence en 1798, à celle d'Helvitie en 1799, il fut blessé à Zurich le 2 juin 1799.
Employé à l'armée du Rhin en 1800, il fut envoyé en parlementaire chez l'ennemi et fut, lors de sa mission, grièvement blessé par trois coups de sabre à la tête.
Chef de bataillon aux grenadiers à pied de la garde en 1803 et colonel du 28ème Régiment au camp de Saint-Omer en 1804.
Il fit la campagne d'Autriche en 1805 et servit à Austerlitz, celle de Prusse en 1806 lors delaquelle il se distingua à la bataille de Pulstück le 26 décembre 1806, ce qui lui valut d'être aussitôt promus au grade de Général de brigade.
Admis à prendre sa retraite, il obtint une donation de 2000 Frs de rente sur la Westphalie le 15 juillet 1810, en même temps il fut crée chevalier de l'Empire par lettre patentes.

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MARIE SALOMÉ SCHNEIDER
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MARIE SALOMÉ VON GOCHNAT
MATHIEU VON EDIGHOFFEN
I
JEAN-GEORGES VON EDIGHOFFEN
ANNA BIRCKEL

JEAN RAPP

Jean Rapp est le fils d'un concierge de la Cour royale. Il s'enrôle à l'âge de 17 ans dans un régiment de chasseurs à cheval à Ostheim. Il gagne ses premiers grades dans l'armée de Rhin et Moselle sous les ordres de Desaix. Lieutenant, il est grièvement blessé à la bataille de Leizkam (Palatinat), en 1795 et obtient une attestation pour sa belle conduite. Devenu aide de camp de Desaix en Égypte, puis chef d'escadron, il est à nouveau blessé à Samanhout, sous les ruines de Thèbes, puis promu colonel. Après Marengo où Desaix fut tué, il devint aide de camp de Bonaparte qui l'honore de son amitié et le nomme général de brigade. En 1802, il est chargé d'annoncer à la confédération helvétique l'intervention de la France pour arrêter les Bernois qui se préparent à conquérir le pays de Vaud.

À la bataille d'Austerlitz en 1805, il se couvre de gloire. À la tête des mamelouks, il fait tomber la garde impériale russe, ce qui lui vaut d'être nommé général de division. Il s'illustre par son courage et sa persévérance. Malgré plusieurs blessures, il affronte de nouvelles batailles : Iéna, Moskowa. Il sauve l'armée pendant la campagne de 1809 à Essling. Nommé gouverneur, il organise une défense héroïque d'une année à Dantzig en 1813. De retour à Strasbourg, il commande l'armée du Rhin et livre bataille au Prince Wurtemberg malgré le désastre de Waterloo. En 1818, Louis XVIII le rétablit, le nomme pair de France et en fait son chambellan.

Le général Rapp décède le 08 novembre 1821 à Rheinweiler au nord de Bâle. Il est inhumé à Colmar au cimetière du Ladhof, son cœur conservé dans un écrin de plomb est à l'église Saint-Matthieu.

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MARIE SALOMÉ SCHNEIDER
JEREMIAS VON GOCHNAT
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MARIE SALOMÉ VON GOCHNAT
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CATHERINE SALOME VON EDIGHOFFEN
JEAN RAPP
I
JEAN RAPP
ALBERTINE CHARLOTTE VON ROTBERGEN

LOUIS JACQUES DE COEHORN

« Napoléon parcourait le champ de bataille, encore jonché de cadavres à demi brûlés, examinait les positions qui venaient d'être conquises, et se faisait rendre compte de toutes les circonstances du combat. On remarquait que sa figure, ordinairement impassible, exprimait tour à tour le regret et l’admiration; les tirailleurs corses, qui s'étaient particulièrement distingués, reçurent de lui des éloges; il leur demanda en italien s'ils avaient perdu beaucoup de monde, l'un deux lui répondit Oh ! il y en a encore pour deux fois ! Il fit à Coehorn un accueil plus paternel que sévère, et lui reprocha cependant son imprudente ardeur. Si vous aviez attendu lui dit-il les troupes qui vous suivaient pour attaquer, le même résultat eût été obtenu, et nous n'aurions pas à déplorer la mort de tant de braves gens. »

Fils de Jean-Jacob de Coëhorn et de Madeleine Dorothée Lang, Louis-Jacques est né à Strasbourg le 16 janvier 1771. Il embrasse le parti des armes à l’âge de 12 ans. Dès l’année suivante, il est nommé sous-lieutenant, à l’âge de 13 ans ! Capitaine (1793), simple soldat puis reprit son grade (1794), fit les campagnes du Rhin (1797), d'Autriche (1805), de Prusse (1806), général de brigade (1807), se distingua à Ebersberg, Essling, Wagram 1809, baron (1809), légion d’Honneur: 30 Avril 1809, baron d’empire: 19 Mars 1808.

adjudant General Chef de Brigade: 20 aout 1799, général de Brigade: 21 Mars 1807,. il décède des suites d’une blessure reçue à la bataille de Leipzig le 29 Octobre 1813.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
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MADELEINE KRIEGELSTEIN
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SALOMÉ ORTLIEB
JEAN HERR
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CATHERINE HERR
MATHIAS GRAFF
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GEORGES GLOXIN
MARIE URSULE GRAFF
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MARGUERITE GLOXIN
JEAN NICOLAS DE DIETRICH
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ELISABETH DE DIETRICH
JEAN RODOLPH DE BEYER
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MARIE DE BEYER
LOUIS JACQUES DE COEHORN