cousinages: avril 2010

dimanche 25 avril 2010

ERNST AUGUST D’ HANOVRE

La princesse Caroline de Hanovre, princesse de Monaco (Caroline Louise Marguerite Grimaldi) (née le 23 janvier 1957 à Monaco) est un membre de la famille princière monégasque. Elle est la fille aînée du prince Rainier III de Monaco et de la princesse Grace de Monaco. Elle épouse en premières noces Philippe Junot. Elle se remarie civilement avec Stefano Casiraghi le 29 décembre 1983 au Palais de Monaco. Il décède le 3 octobre 1990 dans un accident. Ils ont trois enfants, Andrea, Charlotte et Pierre. Son troisième mari est le prince Ernst August de Hanovre (Ernest-Auguste V de Hanovre), le mariage civil eut lieu à Monaco le 23 janvier 1999 et une fille naît de cette union Alexandra le 20 juillet 1999.

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SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
MADELEINE KRIEGELSTEIN
MARTIN BIRR
I
LOUIS BIRR
MARIE BUOB
I
DANIEL BIRR
ANNA KOCH
I
GEORGES FRÉDÉRIQUE ZIEGLER
CATHARINA BIRR
I
JOHANN DANIEL ZIEGLER
JUSTINE HAAG
I
JOHANN MAJER
CAROLINE JULIANNE ZIEGLER
I
GUSTAV VON MAJER
ELFRIE DE DEDE
I
JOHANN MAJER
LOUISE ADAM
I
CARL MAJER
MARGARETHA BERG
I
MARGARET MAIER
JOHN BRENDAN KELLY
I
GRACE KELLY
RAINIER GRIMALDI
I
CAROLINE DE MONACO
ERNST AUGUST D’ HANOVRE

CAROLINE DE MONACO

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FREDERIC BINDER

Frédéric, ° Colmar le 5/10/1646, + Vienne 17/6/1709, secrétaire syndic de Landau en 1670, avocat de la ville de Strasbourg en 1678, syndic de francfort en 1682, conseiller aulique de l'Empereur et anobli par lui en 1683, diplomate impérial à Ryswik, * landau le 14/10/1671 Anne Catherine WILLIG de Colmar, dite von WILLISSEN

SYMON KRIEGELSTEIN

MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
CLEOPHE MOLLER
I
CLEOPHE KRIEGELSTEIN
VALENTIN BARTH
I
FREDERIC BINDER
URSULA BARTH
I
LOUIS BINDER
MARIE HERR
I
FREDERIC BINDER

THEODORE SCHLUMBERGER

Né le 13 mai 1840 - Mulhouse Décédé le 17 février 1917 Industriel et Homme politique, député de Mulhouse. Marié le 9 mai 1867, Mulhouse avec Emma Trapp 1847-1888,

bnu

www.koechlin.net

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MAGDALENA HEGLER
I
URSULA KRIEGELSTEIN
MATTHAUS VISCHER

I
ELIAS BIRR
MARIE MADELEINE FISHER
I
JOHANNES BIRR
CATHARINA SCHOEN
I
MATHIEU MIEG
CATHERINE BIRR
I
MATHIEU MIEG
CLEOPHE ABT
I
CLEOPHE MIEG
JEAN HOFER
I
JEAN HOFER
URSULE BREGENTZER
I
JACOB SCHLUMBERGER
CLIMENE HOFER
I
JULES ALBERT SCHLUMBERGER
EMILIE GERWIG
I
THEODORE SCHLUMBERGER
EMMA TRAPP

PIERRE PAUL SCHWEITZER

Pierre Paul (né le 25/09/1912) directeur du fond monétaire international, épouse Catherine Hatt en Suisse (vandoeuvres) le 07/08/1941 dont deux enfants : Louis et Juliette. Catherine Hatt descend également de Symon Kriegelstein par les Koechlin.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
URSULA KRIEGELSTEIN
MATHEUS VISHER
I
MARTIN FISCHER
BARBARA FISCHER
I
HANS M. FISCHER
ANNA B. UF DER BRUCK
I
JOHAN M. FISCHER
ANNA BARBARA SCHULTZ
I
JOHANN DAVID FISCHER
MARTHA SCHMIDT
I
JOHANN KESSEL
MARIA SUSANNA FISCHER
I
JEAN M. KESSEL
MARIA MADELEINE FLACH
I
CAROLINE KESSEL
JEAN JACQUES SCHILLINGER
I
ADÈLE SCHILLINGER
LOUIS T. SCHWEITZER
I
PAUL SCHWEITZER
EMMA MUNCH
I
PIERRE PAUL SCHWEITZER
CATHERINE HATT

JEAN-JACQUES KOECHLIN

Né le 10 mars 1776. Décédé le 16 novembre 1834. Marié le 7 juin 1802 avec Anne Catherine Koechlin, . (Parents : Josué Koechlin, I/51 1756-1830 & Anne Catherine Keilman 1759-1784) , Député sous la Restauration en 1820, réélu en 1824. Maire de Mulhouse de 1815-1816 et de 1819-1821. Officier de la Légion d'Honneur.
A fait partie d'un complot ayant à sa tête le lieutenant-colonel Caron, en vue d'attenter à la vie de Louis XVIII, à Belfort en 1822. Une brochure dirigée contre l'administration royale, dénonçant le rôle de provocation de la police, qu'il publia après le complot, lui valut six mois de prison et 6000 francs d'amende. Cette amende fut couverte pour une souscription publique.

"Un Koechlin par département et la France serait sauvée", disait de lui La Fayette en faisant allusion à son patriotisme ardent. Ce patriotisme a passé à la postérité par l'inscription ci-dessous sur une médaille frappée à l'occasion de sa mort:
"Citoyen généreux, la France en lui vénère. Un patriote ardent, et l'Alsace un vrai père."

http://www.mulhouseum.uha.fr
bnu
Susan Koechlin

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
APPOLONIA BERGER
I
ELIASLIECHTEISEN
SALOME KRIEGELSTEIN
I
CONRAD GUNTZER
BARBARA LIECHTEISEN
I
MARTIN BIRR
MARIA GUNTZER
I
ELIAS BIRR
MARIE MADELEINE FISHER
I
JOHANNES BIRR
CATHARINA SCHOEN
I
MATHIEU MIEG
CATHERINE BIRR
I
MATHIEU MIEG
CLEOPHE ABT
I
MARIE MADELEINE MIEG
JEAN DOLLFUS
I
CLIMENE DOLLFUS
JEAN KOECHLIN
I
JEAN-JACQUES KOECHLIN
ANNE CATHERINE KOECHLIN

PETER OCHS

Les idées véhiculées par le siècle des lumières - aboutissant à la Révolution française de 1789 - eurent un grand retentissement dans toute l'Europe, et bien entendu en Suisse et à Bâle. Peter Ochs (1752 - 1821), né à Nantes en France, mais élevé en Allemagne, arriva à Bâle, patrie de son père, en 1769. Homme politique, grand admirateur de la Révolution française, il prépara la constitution de la Révolution helvétique, donnant naissance à un état unitaire. C’est dans sa maison, le Holsteinerhof, que fut signée en 1795 la Paix de Bâle, mettant provisoirement fin aux hostilités entre la France, l’Espagne et la Prusse. Le 24 novembre 1797, le général Bonaparte – alors âgé de 29 ans – séjourne à Bâle dans l’hôtel des Trois Rois. Il vient d’Italie et se rend au Congrès de Rastadt. Le 12 août 1798, la République helvétique ‘‘une et indivisible’’ est proclamée par le Bâlois Peter Ochs qui négocia l’alliance avec la France de Bonaparte.

MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MAGDALENA HEGLER
I
URSULA KRIEGELSTEIN
MATTHAUS VISCHER
I
MATTHAUS VISCHER
MARGARETHA LICHTEISEN
I
MATTHAUS VISCHER
MAGDALENA RESPINGER
I
LEONARD VISCHER
ANNA ISELIN
I
LEONARD VISCHER
ANNA WETTSTEIN
I
LEONARD VISCHER
ANNA BIRR
I
SALOME VISCHER
PETER OCHS

GEORGES EUGENE HAUSSMANN

Georges Eugène Haussmann naît le 27 mars 1809 à Paris. Son père, Nicolas Valentin Haussmann, négociant, devient commissaire des guerres sous le Premier Empire. Il fait ses études au collège Henri IV à Paris où il a pour condisciples le Duc de Chartres fils aîné de Louis-Philippe alors Duc d’Orléans, et Alfred de Musset. Il s’inscrit à la faculté de droit de Paris, tout en étant au conservatoire de musique de Paris, passant sa licence en 1829 et son doctorat en 1831. Diplôme d'avocat en poche, il entame alors une carrière préfectorale en tant que secrétaire général de la préfecture de la Vienne. C'est par les Kriegelstein que la famille Haussmann a relevé le titre de baron... Le Baron Haussmann s’engage dans une carrière préfectorale dès 1831, le 22 juin 1853 il est nommé préfet de la Seine et le reste jusqu’au 5 janvier 1870, jour où Napoléon III le destitue de ses fonctions. Préfet de la Seine de 1853 à 1870. Chargé par Napoléon III d'élaborer et de diriger un vaste plan de rénovation du centre de Paris et des quartiers périphériques.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
I
CATHERINE HERR
ANDRÉ DE KLINGLIN
I
MARTIN BURGER
MADELEINE DE KLINGLIN
I
ANTOINE BURGER
CATHERINE KOENIG
I
MARIE MAD. BURGER
BALTHAZAR HAUSSMANN
I
CHRISTIAN HAUSSMANN
BARBE BUOB
I
NICOLAS-VALENTIN HAUSSMANN
CAROLINE DENTZEL
I
GEORGES EUGENE HAUSSMANN
OCTAVIE DE LA HARPE

JEAN-JACQUES GOLL

Vice-Président puis Président du Conseil de la Régence de Montbéliard, il était seigneur d'Allenjoie et seigneur de Généchie. Il obtint ses titres de noblesse du Saint-Empire par ordonnance de François Ier le 11 septembre 1763. Voici la description des ses armoiries :
Ecartelé, ai 1 de gueules à la demi sigle d'or, mouvante du parti; au 2 d'argent à un sapin au naturel terrassé de sinople; au 3 d'or à un ange posé de front, habillé de gueules, ceint d'azur, posé sur une terrasse de sinople; au 4 d'azur, à 3 boules d'or, 2 et 1. Casque couronné. Cimier: un bouvreuil au naryrel couronné d'or entre 2 probiscides coupées d'or et d'azur. Lambrequin: or et gueules; azur et or. Après les nouvelles lettres de noblesses obtenues par Louis XVI le 12 juillet 1786, les armoiries sont conservées, seul le sapin se transforme en palmier et le bouvreuil en pivoine. Jean jacques Goll mourut dans sa propriété de Colmar au 22 rue Berthe Molly et fut inhumé à Allenjoie le 17 juin dans le temple du village.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
GEORGES HERR
MADELEINE KRIEGELSTEIN
I
JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
I
CATHERINE HERR
MATHIAS GRAFF
I
EMILE ROETTLIN
SALOMÉ GRAFF
I
EMANUEL ROETTLIN
MARIE-SALOMÉ GOLL
I
CLÉOPHÉ ROETTLIN
JEAN-JACQUES GOLL

CHRISTIAN FREDERIC PFEFFEL

Christian Frédéric est diplomate et historien (sous le nom de Pfeffel Von Kriegelstein) en Saxe puis à Versailles. Né à Colmar en 1726, mort en 1807. Il a commencé sa carrière comme secrétaire d’ambassade du Roi de Pologne électeur de Saxe, puis est passé dès 1763 au service de la maison palatine de Deux Ponts pour le restant de ses jours. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages renommés d’histoire et de droit international, parmi lesquels :

- Nouvel abrégé chronologique de l’histoire et du droit public de l’Allemagne (Paris, 1754, réimprimé en 1758 à Mannheim, puis à nouveau à Paris en 1766, 1776, etc …)

- Recherches historiques concernant les droits du Pape sur la Ville et l’Etat d’Avignon (Paris, 1768)

- Etat de la Pologne, avec un abrégé de son droit public (Paris, 1770)

Son fils Hubert, entra dès 1793, à la suite de son père, au service du futur roi de Bavière Maximilien Ier, et fut ensuite ministre plénipotentiaire de Bavière à Londres, puis à Paris.

ALEXANDER HOYOS FREIHERR

Alexandre zu Stichsenstein de Hoyos Freiherr est né 13 mai 1876 dans la ville hongroise de Fiume. La famille de Hoyos est originaire d'Espagne. Au cours des siècles, le chef de la maison était devenu un magnat hongrois, et la famille était mediatisée également, capable se marier dans les plus hautes maisons royales de l'Europe centrale. Le père d'Alexandre, von Hoyos de graf de Josef, était adjudant-major et ami personnel du prince Rudolf, et était présent chez Mayerling en mars 1889 le jour où Rudolf a commis le suicide avec une actrice, et également le premier à rapporter la tragédie à Kaiser Franz Josef, le père de Rudolf. Alexandre Hoyos a choisi de servir également la Chambre de Habsburg comme son père l’avait fait, et il a consacré son vie entière à la diplomatie. De 1900, il était attache aux consulats à Pékin, à Paris, à Belgrade, et à Berlin. De 1912, il était le chef du cabinet de ministres, et était ainsi l'intermédiaire pour la cour et le bureau étranger. Hoyos était également l'adjudant-major en chef au ministre des affaires étrangères impérial, Leopold von Berchtold de graf . Le 5 juillet 1914, Hoyos a été personnellement expédié à Berlin par Berchtold pour retentir hors des sentiments allemands au sujet de l'assassinat de l'archiduc Franz Ferdinand par réponse militaire prévue de Serbians et de l'Autriche. Hoyos était un membre de la prétendue "partie de guerre" à Vienne, dont les membres ont considéré la Serbie comme un voisin dangereux qui devraient être éliminés aussitôt que possible. Hoyos a rencontré le Kaiser Wilhelm, le chancelier Bethmann-Hollweg, et les membres du ministère étranger allemand. Hoyos était heureux de signaler qu’ils devraient frapper contre la Serbie rapidement. Cependant, le Général von Hötzendorf a répondu dans la négative à une telle entreprise et Hoyos a perdu son élan dans le Foreign Office. Il a été relégué à un rôle mineur suivant la déclaration de la guerre contre la Serbie fin juillet 1914. Alors en 1917, Hoyos est allé à Christiania, capital de la Norvège, jusqu'à la fin de la guerre. Alexandre Hoyos est mort à Schwertberg le 20 octobre 1937.

http://worldroots.com/foundation/ancestorlists/stephbismarckanc1976.htm

http://www.geocities.com/veldes1/hoyos.html

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
I
SALOMÉ ORTLIEB
JEAN HERR
I
CATHERINE HERR
MATHIAS GRAFF
I
GEORGES GLOXIN
MARIE URSULE GRAFF
I
MARGUERITE GLOXIN
JEAN NICOLAS DE DIETRICH
I
ELISABETH DE DIETRICH
JEAN RODOLPH DE BEYER
I
MARIE DE BEYER
LOUIS JACQUES DE COEHORN
I
MELANIE DE COEHORN
ALFRED RENOUARD DE BUSSIERE
I
MELANIE DE BUSSIERE
EDMOND DE POURTALES
I
AGNES DE POURTALES
JEAN LOUIS DE LOIS CHANDIEU
I
EDMEE DE LOIS CHANDIEU
ALEXANDER HOYOS FREIHERR

LUDWIG KRIEGELSTEIN

Louis Kriegelstein (25/8/1542-12/9/1625 Colmar) épouse Catherine Vogel puis Cléophé Moller. Il aura Marguerite, Anne Marie, Cléophé. Bourgeois de Colmar en 1565, négociant, chef de tribu. Son portrait ainsi que celui de sa femme sont conservés au musée de Colmar.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
CLEOPHE MOLLER

vendredi 23 avril 2010

CHRETIEN HUBERT PFEFFEL

Né le 04/04/1765 à Strasbourg et décédé le 11/12/1834 à Paris. Hubert entra dès 1793, à la suite de son père, au service du futur roi de Bavière Maximilien Ier, et fut ensuite ministre plénipotentiaire de Bavière à Londres, puis à Paris.

BORIS JOHNSON

Alexander Boris de Pfeffel Johnson, né le 19 juin 1964 à New York (États-Unis), est depuis mai 2008 le maire de Londres. Homme politique journaliste britannique et membre du Parti conservateur, entre juin 2001 et 2008 il était membre du Parlement pour la circonscription de Henley-on-Thames, dans l’Oxfordshire.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
I
JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
I
JEAN GEORGES HERR
MARIANNE BURGER
I
JEAN GEORGES HERR
ANNE MARIE GRAFF
I
ANNE CATHERINE HERR
JEAN CONRAD PFEFFEL
I
THÉOPHILE CONRAD PFEFFEL
MARGUERITE DIVOUX
I
CHRETIEN PFEFFEL
ANNE CATHERINE GERNIER
I
CHRISTIAN HUBERT PFEFFEL
CAROLINE VON TETTENBORN
I
ERNESTINE PFEFFEL
FEDOR TIOUTCHEV
I
CARL MAX PFEFFEL
CAROLINE VON ROTHENBERG
I
CHRITIAN HUBERT PFEFFEL
HELENE RIVIERE
I
MARIE-LOUISE PFEFFEL
STANLEY WILLIAMS
I
YVONNE WILLIAMS
WILFRED JOHNSON
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BORIS JOHNSON

ERNESTINE PFEFFEL

Epouse de poète Tioutchev.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
I
JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
I
JEAN GEORGES HERR
MARIANNE BURGER
I
JEAN GEORGES HERR
ANNE MARIE GRAFF
I
ANNE CATHERINE HERR
JEAN CONRAD PFEFFEL
I
THÉOPHILE CONRAD PFEFFEL
MARGUERITE DIVOUX
I
CHRETIEN PFEFFEL
ANNE CATHERINE GERNIER
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CHRISTIAN HUBERT PFEFFEL
CAROLINE VON TETTENBORN
I
ERNESTINE PFEFFEL
FEDOR TIOUTCHEV

FEDOR TIOUTCHEV

Fédor Tioutchev est né le 23 novembre 1803 dans la région de Briansk dans une famille noble. Il a fait ses études à l’Université de Moscou. Marié à Eléonore von Bothmer dont Anna, Daria et Katherina puis à Ernestine en 1839 dont Maria.
F.I.Tioutchev - diplomate de carrière, qui a consacré au service diplomatique trente-six ans de sa vie. Il s’acquittait des missions importantes à l’étranger, en particulier, dans les représentations diplomatiques russes à Munich et à Turin, occupait des hautes fonctions dans l’appareil central du ministère. Il se distinguait toujours par son professionnalisme et ses intérêts polyvalents.
On doit à la plume de Tioutchev les vers qui sont devenues les classiques de la littérature russe. Ils sont empreints de l’amour pour la Patrie, reflètent son patriotisme sincère et sans réserve. "Je suis Russe, - écrivait F.I.Tioutchev - Russe de coeur et d’âme, profondément fidèle à ma terre". La fidélité de Tioutchev à la Russie est certainement un exemple à suivre. En tant que sincère patriote, il souffrait profondément de la tragédie de la guerre de Crimée et, en tant que professionnel, appréciait hautement les succès diplomatiques de notre pays qui avait su ensuite tourner cette page amère uniquement par les moyens politico-diplomatiques - "sans faire bouger canons et rouble".

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
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MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
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JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
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JEAN GEORGES HERR
MARIANNE BURGER
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JEAN GEORGES HERR
ANNE MARIE GRAFF
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ANNE CATHERINE HERR
JEAN CONRAD PFEFFEL
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THÉOPHILE CONRAD PFEFFEL
MARGUERITE DIVOUX
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CHRETIEN PFEFFEL
ANNE CATHERINE GERNIER
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CHRISTIAN HUBERT PFEFFEL
CAROLINE VON TETTENBORN
I
ERNESTINE PFEFFEL
FEDOR TIOUTCHEV

NIKOLAI BIRILEV

Le 5 février 1865, dans une église orthodoxe russe de Nice, Nikolaï Alexeïevitch Birilev épousa Maria Fiodorovna Tiouttcheva (-1872) (fille du grand poète russe Fiodor Ivanovitch Tiouttchev 1803-1873). Nikolaï Alexeïevitch Birilev sortit diplômé du Corps naval des cadets en 1847. De 1845 à 1855, Nikolaï Alexeïevitch Birilev servit dans la flotte de la mer Noire. Le 30 novembre 1853, il participa à la bataille de Sinop.
Nikolaï Alexeïevitch Birilev prit part à la défense de Sebastopol du 9 septembre 1854 au 5 mai 1855, date où il fut grièvement blessé à la tête par une balle. Le commandement ordonna la défense du 3ème bastion contre les nombreuses incursions des troupes ennemies, au grade lieutenant (capitaine de vaisseau), il commanda les avant-postes. Dans la nuit du 21 septembre 1854, il fit prisonnier deux officiers et plusieurs soldats. Le 11 mars 1855, à la tête de 750 chasseurs, le lieutenant réussit à se saisir d'une batterie de 10 canons. Pour son héroïque comportement lors de la défense de Sebastopol, il fut décoré de l'Ordre de Saint-Georges (4ème classe), de l' Ordre de Saint-Vladimir (4ème classe avec épées) l'Ordre de Sainte-Anne (2ème classe avec épées et la couronne impériale).
De 1859 à 1863 Nikolaï Alexeïevitch Birilev exerça le commandement sur la corvette Posadnik (Посадник), à bord de ce navire, il visita la Chine et le Japon.
Le 30 janvier 1866 décéda la fille de Nikolaï Alexeïevitch Birilev, très affecté par cet évènement, il fut atteint de troubles mentaux probablement aggravés par sa blessure à la tête au cours du siège de Sébastopol. Il demeura dans cet état de démence jusqu'à son décès. Nikolaï Alexeïevitch Birilev décéda en 1882 à Saint-Petersbourg, il fut inhumé au cimetière Novodievitchi aux côtés du poète Fiodor Ivanovitch Tiouttchev.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
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RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
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MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
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MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
I
JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
I
JEAN GEORGES HERR
MARIANNE BURGER
I
JEAN GEORGES HERR
ANNE MARIE GRAFF
I
ANNE CATHERINE HERR
JEAN CONRAD PFEFFEL
I
THÉOPHILE CONRAD PFEFFEL
MARGUERITE DIVOUX
I
CHRETIEN PFEFFEL
ANNE CATHERINE GERNIER
I
CHRISTIAN HUBERT PFEFFEL
CAROLINE VON TETTENBORN
I
ERNESTINE PFEFFEL
FEDOR TIOUTCHEV
I
MARIA TIOUTCHEV
NIKOLAI BIRILEV

RACHEL JOHNSON

Grâce à son humour irrévérencieux, Rachel Johnson s’est imposée comme l’une des plumes londoniennes les plus connues. En plus de ses chroniques au Sunday Times et à l’Evening Standard, elle a publié trois livres -dont le best-seller Notting Hell- et été récemment nommée rédactrice en chef du magazine The Lady. La petite sœur du maire de Londres vit à Notting Hill avec son mari et leurs trois enfants.

KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
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LUDWIG KRIEGELSTEIN
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BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
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RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
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MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
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MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
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JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
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JEAN GEORGES HERR
MARIANNE BURGER
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JEAN GEORGES HERR
ANNE MARIE GRAFF
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ANNE CATHERINE HERR
JEAN CONRAD PFEFFEL
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THÉOPHILE CONRAD PFEFFEL
MARGUERITE DIVOUX
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CHRETIEN PFEFFEL
ANNE CATHERINE GERNIER
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CHRISTIAN HUBERT PFEFFEL
CAROLINE VON TETTENBORN
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ERNESTINE PFEFFEL
FEDOR TIOUTCHEV
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CARL MAX PFEFFEL
CAROLINE VON ROTHENBERG
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CHRITIAN HUBERT PFEFFEL
HELENE RIVIERE
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MARIE-LOUISE PFEFFEL
STANLEY WILLIAMS
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YVONNE WILLIAMS
WILFRED JOHNSON
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STANLEY JOHNSON
CHARLOTTE WAHL
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RACHEL JOHNSON
IVO DAWNAY

FREDERIQUE PFEFFEL

Frédérique fut la secrétaire de son père. Elle l’assista jusqu’à son décès en 1809 puis devint institutrice à Colmar et Strasbourg.

JEAN CONRAD PFEFFEL

Jean-Conrad est né le 3 mai 1682 à Mundingen. Il fut précepteur dans plusieurs familles, entre autres celle d’Andlau. Il fut appelé à la cour de Versailles en 1723 en qualité de jurisconsulte du roi pour les affaires étrangères. Il arrive à Colmar en 1724, probablement en mission secrète. La même année il épouse Anne Catherine Herr veuve Weber. En 1727, il devient stättmeister de Colmar. Il décède le 14 mai 1738.

PIERRE RAPHAËL LEPINE

Pierre Raphaël Lepine (Lyon 1901-1989), fils de Jean et petit-fils de Raphaël, était également médecin, virologue à l'Institut pasteur de Paris dès 1935 après un internat aux Hôpitaux de Lyon. Ses recherches sur la variole et son vaccin contre la poliomyélite seront le point de départ des études modernes sur les virus infra visibles.Il y rencontrera le célèbre Noguchi qui vivait aux Etats-Unis et qui lui proposa de l'accompagner au Honduras pour le compte de la Fondation Rockfeller. C'est ainsi qu'il passe ensuite à l'Université américaine de Beyrouth. De retour à Paris, il accepte l'invitation de Levaditi à travailler à ses côtés à l'Institut Pasteur, place qu'il quitte en 1930 pour diriger celui d'Athènes durant près de cinq ans. Il rejoindra son poste précédent en 1935. Il publie en 1938, en collaboration avec son maître Levaditi plusieurs traités consacrés aux maladies à virus. Directeur du service de l'Etude de la Rage à l'Institut de 1935 à 1940 il étudie l'histochimie de ce virus, étude qui manquait encore à celles concernant sa structure. Il devient Chef du service de virologie en 1941. En 1952 il se lance dans l'étude morphologique des virus au microscope électronique (Le Premier de France) et émet l'hypothèse du rôle des virus dans tous les cancers. De 1954 à 1956 le vaccin de Salt (de Pittsburgh) et de Lépine, (ce dernier mettra au point sa diffusion et sa technique vaccinale) destiné à combattre la poliomyélite antérieure aiguë, infection neurotrope, est mis au point. Trois types seront émis en dix ans. Pierre Lépine était passionné d'histoire de la médecine. Elu en 1953 à l'Académie de Médecine et en 1961 à l'Académie des Sciences, il fut promu grand officier de la légion d'Honneur en 1976.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
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LUDWIG KRIEGELSTEIN
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SALOME KRIEGELSTEIN
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BARBARA LIECHTEISEN
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MARIA GUNTZER
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CATHARINA SCHOEN
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MATHIEU MIEG
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MATHIEU MIEG
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IDA KALTENBACH
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MAX DOLLFUS
HENRIETTE ENGEL
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MARIE-MADELEINE DOLLFUS
PIERRE RAPHAËL LÉPINE

mardi 20 avril 2010

RAPHAËL LEPINE

Docteur en médecine. Professeur à la faculté de médecine de Lyon. Membre correspondant de l'Institut. Membre de l'Académie de médecine. Officer de la Légion d'honneur. J. RAPHAËL LEPINE médecin physiologiste, frère de Louis Lépine, préfet de police sous la IIIe république, est professeur de clinique médicale et premier titulaire de la nouvelle Faculté de Médecine de Lyon. Elève de l’Ecole du grand Charcot, de Brown-Sécard et de Virchow, il se consacre d’abord à l’étude du cerveau, du système nerveux et des maladies de la moelle épinière. Les caves de l’Hôtel dieu lui servent de laboratoire. Il individualise la paralysie pseudo-bulbaire (troubles simulant une atteinte du bulbe rachidien). En 1889 il a, le premier, la conception d’un pancréas « véritable glande endocrine (à sécrétion interne) exerçant une activité régulatrice du glucose » prolongeant ainsi les célèbres travaux de Claude Bernard qui avait déjà trouvé une explication partielle au diabète sucré par la découverte de la fonction glycogénique du foie en 1853 mais méconnaissait encore totalement la fonction endocrine du pancréas. Lépine prépare ainsi incontestablement la découverte de l’insuline. En 1895 il signale pour la première fois le diabète rénal, maladie héréditaire consistant en un trouble de la réabsorption du glucose au niveau des reins. Il fera campagne pour prôner la prophylaxie sociale de la syphilis par l’amélioration de la surveillance médicale et policière des personnes à risques.

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JEAN KOECHLIN
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DANIEL KOECHLIN
CATHERINE EMILIE SCHOUCH
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RAPHAËL JAQUES LÉPINE
MATHILDE KOECHLIN

AMELIE KOECHLIN

Epouse de Jean-Jacques Thierry-Mieg

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FERDINAND KOECHLIN
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AMELIE KOECHLIN
JEAN-JACQUES THIERRY- MIEG

JEAN-JACQUES THIERRY- MIEG

Jean-Jacques Thierry-Mieg (3 novembre 1820 – 14 novembre 1904) est médecin. Auteur de plusieurs ouvrages sur la sténographie. Il épouse Amélie Koechlin (18 janvier 1825 -29 décembre 1903) le 19 juin 1845. Le couple descend également de Symon Kriegelstein par les deux parents d’Amélie, ferdinand Koechlin et Amélie Hofer.

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FERDINAND KOECHLIN
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CLAIRE DEPOUILLY

Epouse d'Eugène Curie.

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EUGENE CURIE
CLAIRE DEPOUILLY

EUGENE CURIE

Eugène Curie, fils de Paul a lui aussi exercé la profession de médecin, mais à Paris, où il avait la réputation d’être au service des plus démunis. Il sera le père de Jacques, universitaire, et de Pierre (1859-1906), découvreur du radium.

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EUGENE CURIE
CLAIRE DEPOUILLY

AUGUSTINE HOFER

A gauche. Epouse de Paul Curie.

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AUGUSTINE HOFER
PAUL CURIE

PAUL CURIE

Paul Curie (1799-1853), est un humaniste malthusien engagé né à Grand-Charmont, près de Montbéliard. Il s’installe à Mulhouse, après ses études de médecine. Il y fréquente la bourgeoisie et très rapidement épouse (le 18 septembre 1825) Augustine Hofer, l’un des plus beaux partis de la ville : le père d’Augustine n’est autre que la fille de Jean Hofer, grand industriel français de la première partie du XIXe siècle. Grand-parent de Pierre Curie.

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CHARLES-FREDERIC FAUDEL

Issu d'une famille de médecins, Charles-Frédéric Faudel, né à Colmar le 05 août 1826, poursuit ses études à la faculté de médecine de Strasbourg. Il étudie également la botanique, la géologie, et la zoologie à la faculté des sciences.

De retour à Colmar, il exerce en tant que médecin et se montre dévoué lors de l'épidémie de choléra en 1854, tout comme il organisa l'ambulance pendant la guerre de 1870. Secrétaire puis président de la Société médicale du Haut-Rhin, médecin communal, il encourage la souscription pour l'institut Pasteur. En 1859, il est l'un des membres fondateurs de la Société d'histoire naturelle de Colmar puis son secrétaire, et dirige les publications du Bulletin. Il identifie une calotte crânienne humaine découverte à Éguisheim, qui deviendra la pièce essentielle du Musée d'histoire naturelle. Elle suscite des demandes de moulages, de nouvelles recherches et analyses, la calotte étant le premier os humain découvert datant du paléolithique.

Le couvent des Unterlinden devenu musée se partage entre la Société Schongauer qui rassemble les collections d'art et la Société d'histoire narturelle, dont les collections de géologie, minéralogie et préhistoire furent créées par le docteur Faudel. Esprit scientifique, rigoureux, il gère, inventorie, classe les collections enrichies avec beaucoup de passion. Il développe plusieurs sections : sciences naturelles, anatomie humaine et comparée, archéologie, préhistoire. Il rassemble, complète et encourage des achats de collections.

À partir de 1876, s'intéressant plus particulièrement à l'archéologie préhistorique, il publie en collaboration avec son ami G. Bleicher Matériaux pour une étude préhistorique en Alsace. Devenu président de la Société d'histoire naturelle de Colmar, il décède le 14 juillet 1893, laissant à ses successeurs un travail accompli au fil des années qui enrichit encore le Musée d'histoire naturelle et d'ethnographie de Colmar.

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EMILE ROETTLIN
SALOME GRAFF
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EMMANUEL ROETTLIN
MARIE SALOME DE GOLL
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JEAN-GEORGES ZIEGLER
CATHERINE ROETTLIN
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FREDERIC-GUILLAUME FAUDEL
MARIE-CATHERINE ZIEGLER
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GEORGES-FREDERIC FAUDEL
ANNE-MARIE SCHEURER
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CHARLES-FREDERIC FAUDEL
LOUISA SCHEURER

GUSTAVE LEON SCHLUMBERGER

Né le 17 octobre 1844 à Guebwiller. Ancien interne des hôpitaux de Paris. Docteur en médecine à Paris. Membre de l'Académie des Inscriptions et Belle-Lettres. Chevalier de la Légion d'honneur. Sans descendance connue.

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MARIE MADELEINE MIEG
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CLIMENE DOLLFUS
JEAN KOECHLIN
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ANNE-CATHERINE KOECHLIN
JEAN- HENRI BOURCART
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ANNE-CATHERINE BOURCART
DANIEL SCHLUMBERGER
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PIERRE SCHLUMBERGER
LOUISE BERTHOUD
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GUSTAVE LEON SCHLUMBERGER

EDOUARD GLOXIN

Benjamin Edouard Gloxin est le deuxième mari d’Eugénie Méquillet. Il est docteur en médecine à Colmar, fils du médecin Pierre Benjamin Gloxin, connu comme botaniste car il donne son nom à la gloxinia. Il descend des Kriegelstein par son ancêtre Marie-Ursule Graff qui épouse Georges Benjamin Gloxin venu s’installer à Colmar vers 1685, et par la branche maternelle des Hanhart.

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MATHIAS GRAFF
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CATHERINE GRAFF
HANS JACOB SANDHERR
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SALOMÉ SANDHERR
JEAN-ULRICH GOLL
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MARIE-SALOME GOLL
EMMANUEL ROETTLIN
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CATHERINE-SALOME ROETTLIN
MARTIN DURING
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CATHERINE-SALOME DURING
JEAN-JACQUES HANHART
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CATHERINE-SALOME HANHART
PIERRE-BENJAMIN GLOXIN
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EDOUARD GLOXIN
EUGENIE MEQUILLET

CHARLES FRIEDEL

Charles Friedel, né à Strasbourg le 12 mars 1832 et mort à Montauban le 20 avril 1899, est un minéralogiste et chimiste français.
Professeur de chimie à la Sorbonne, il est élu membre de l'Académie des sciences en 1878.
Friedel a découvert la réaction de Friedel-Crafts (alkylation et acylation) avec James Crafts en 1877, et a essayé de produire des diamants synthétiques.
Successeur de Gabriel Delafosse à la chaire de minéralogie de la Faculté des sciences de Paris en 1876, il quitte ce poste en 1885 et il est remplacé par Paul Hautefeuille, pour succéder à Charles-Adolphe Wurtz à la chaire de chimie organique. À sa mort, il est remplacé par Albin Haller.
Il est cofondateur de l'Ecole alsacienne (1874) et de Chimie Paris (1896).
Charles Friedel est le père de Georges Friedel et l'arrière grand-père de Jacques Friedel.

http://fr.wikipedia.org

Susan Koechlin

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MARIE MADELEINE MIEG
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CLIMENE DOLLFUS
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RODOLPHE KOECHLIN
MARIE RISLER
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EMILE KOECHLIN
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EMILIE KOECHLIN
CHARLES FRIEDEL

PIERRE-BENJAMIN GLOXIN

Le genre Gloxinia fut dédié par Charles Louis l'Hertier de Brutelle à Benjamin-Pierre Gloxin, un médecin- botaniste français du 18 éme siècle (1765-1794). Marié à Catherine Hanhart. Les deux descendent de Symon Kriegelstein.

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MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
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JEAN HERR
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CATHERINE HERR
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MARIE-URSULE GRAFF
GEORGES-BENJAMIN GLOXIN
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BENJAMIN GLOXIN
CATHERINE-SALOME ROETTLIN
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GEORGES-ANDRE GLOXIN
MARGUERITE DIVOUX
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PIERRE-BENJAMIN GLOXIN
CATHERINE-SALOME HANHART

DANIEL KOECHLIN

Daniel Koechlin-Schouch (1785-1871) est considéré comme le représentant le plus illustre de la génération d’industriels-inventeurs du Premier Empire et de la Restauration à Mulhouse. Il est le petit-fils de Samuel Koechlin, le fils de Jean et le frère cadet de Nicolas. En 1800, à 15 ans, il est envoyé à Paris pour suivre les cours de chimie du Professeur Fourcroy tandis qu’il travaille comme apprenti dans une maroquinerie. En 1802, il est engagé comme chimiste dans l’entreprise familiale dirigée par son frère Nicolas, et à partir de 1806, comme associé à titre de spécialiste-inventeur de chimie. Il s’intéresse aux applications de la chimie à la fabrication. Il réussit à appliquer la première découverte du Professeur Lassaigne pour enlever, par action chimique, des parties destinées à recevoir l’impression et les dessins. Il découvre également une technique permettant d’obtenir le rouge d’Andrinople sur toile. Ces initiatives lui valent la médaille d’or personnelle à l’Exposition de 1819 à Paris. Il est aussi décoré de la Légion d’honneur pour ses belles application de jaune de chrome. Il est de ceux qui ont sollicité auprès de la municipalité la création d’un laboratoire de chimie en 1822.

CLAUDE AUGUSTE LAMY

Claude-Auguste LAMY (1820-1878), natif du Jura comme Pasteur , avait été son condisciple à l'Ecole Normale, puis à la Faculté des Sciences de Lille. Alors que la chaire de chimie était occupée par Pasteur, celle de physique avait été attribuée à son ancien condisciple Claude Auguste Lamy qui l’occupa dès 1854, en même temps qu il devint le gendre de Kuhlmann. Utilisant un spectroscope prêté par son beau-père à la Faculté des Sciences, Lamy identifia, dans les chambres de dépoussiérage des fours à pyrite, une substance nouvelle entrevue par Crookes qui lui avait donné le nom de Thallium - sans toutefois l’isoler - ce qui réussit par contre à Lamy. Celui-ci en étudia les propriétés curieuses et en éprouva lui même la toxicité, le situant dans un premier temps parmi les métaux alcalins

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
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LUDWIG KRIEGELSTEIN
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MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
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ZACHARIE BUOB
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URSULE BUOB
JEAN JACQUES FROSCHESSER
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MARIE SALOME FROSCHESSER
JEAN BURGER
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MARIE SALOMÉ BURGER
JEAN BENOIT HOCHSTETTER
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JEAN GEORGES HOCHSTETTER
SALOMÉ LUNG
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MARIE SALOMÉ HOCHSTETTER
GEORGES CHRETIEN KUHLMANN
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CHARLES FREDERIC KUHLMANN
ROMAINE WOUSSEN
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CECILE KUHLMANN
CLAUDE AUGUSTE LAMY

ANNE SCHLUMBERGER

Anne Gruner Schlumberger était avant tout une bâtisseuse. A Clamart, elle était de toutes les réunions de chantier, veillant aux moindres détails. C'est elle qui a introduit dans les bibliothèques françaises le mobilier d'Alvar Aalto et plus généralement une nouvelle manière de concevoir les lieux de lecture. Dernièrement encore, elle aidait la bibliothèque de Clamart dans son programme de sensibilisation à l'art. Bouleversée par l'exposition Giacometti, elle s'est immédiatement souciée de la faire découvrir aux enfants de la Cité de la Plaine. Jusqu'à la fin de sa vie, elle a fait preuve d'une extrême jeunesse dans ses émotions, sa sensibilité et son impatient désir de créer. Les bibliothèques pour enfants en France lui doivent beaucoup.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
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BARBARA LIECHTEISEN
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MARTIN BIRR
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MARIE MADELEINE FISHER
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MARIE MADELEINE MIEG
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JEAN- HENRI BOURCART
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NICOLAS SCHLUMBERGER
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PAUL SCHLUMBERGER
MARGUERITE DE WITT
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CONRAD SCHLUMBERGER
LOUISE DELPECH
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ANNE SCHLUMBERGER
HENRI DOLL

HENRI DOLL

Henri travaille avec Conrad et Marcel Schlumberger au sein de la Société de prospection électrique, et participe au premier carottage électrique réalisé en Alsace à Pechelbronn (5 septembre 1927) avec Charles Scheibli et Roger Jost. Il participe par la suite à l'aventure Schlumberger notamment en Russie (Bakou) puis aux Etats-Unis (Houston, Texas puis Ridgefield, Connecticut). Dans les années 1940, il met au point pour le gouvernement américain un moyen de détection de mines enterrées, utilisées pour la première fois sur une vaste échelle lors de la Seconde Guerre mondiale. Un des inventeurs les plus prolifiques du XXe siècle, auteur de plus de soixante-dix brevets, il se passionnera également pour la recherche médicale, et fut également un mécène des arts, notamment en aidant de nombreux musiciens et danseurs transfuges de l'Union soviétique.

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CLIMENE DOLLFUS
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NICOLAS SCHLUMBERGER
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lundi 19 avril 2010

EMILE KUSS

Émile Kuss était un homme politique alsacien, né le 1er février 1815 à Strasbourg. Il fut maire de Strasbourg pendant quelques mois, du 11 septembre 1870 jusqu'à sa mort spectaculaire à Bordeaux le 1er mars 1871, jour où l'Assemblée Nationale s'est réunie au Grand Théâtre de Bordeaux. Il a étudié la médecine à Strasbourg avant de se rendre à Paris en 1835. En 1837, il revint à Strasbourg. Il a fondé en 1851 le journal La République populaire du Bas-Rhin. Depuis le 12 août 1870, Strasbourg était investie par l'armée du général prussien August von Werder. Ce n'est que le 11 septembre 1870 que les Strasbourgeois apprirent la proclamation de la IIIe République, faite à Paris le 4 septembre. Le même jour, Émile Kuss est nommé maire de la ville par la commission municipale. Il fit preuve d'une extraordinaire énergie pour défendre la ville jusqu'au dernier moment, et la capitulation du 28 septembre 1870 a été pour lui une épreuve très douloureuse à vivre. Malgré sa très grave maladie, il s'est rendu à Bordeaux pour faire entendre les protestations de l'Alsace. Malheureusement, il ne put y siéger. Il est décédé à Bordeaux d'une crise cardiaque, le 1er mars 1871 à minuit, lorsqu'il apprend que ses collègues à l'Assemblée Nationale ont décidé d'abandonner l'Alsace et la Lorraine. Ses obsèques, qui ont eu lieu le 3 mars 1871 à Bordeaux ont rassemblé une foule immense, entourée de tous les députés de l'Alsace et de la Lorraine. Les funérailles solennelles eurent lieu à Strasbourg le 8 mars 1871.

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MARIA HAEGLIN
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URSULA KRIEGELSTEIN
MATHEUS FISCHER
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HANS MARTIN FISCHER
ANNA BARBARA UF DER BRUCK
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JOHAN MARTIN FISCHER
ANNA BARBARA SCHULTZ
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JOHAN DAVID FISCHER
MARTHA SCHMIDT
I
JOHAN JACOB STEINHILBER
MARIA MAGDALENA FISCHER
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JOHAN PHILIPP TRAUTMANN
MARIA SALOMÉ STEINHILBER
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GEORGE-CHARLES KUSS
LOUISE SALOMÉ TRAUTMANN
I
EMILE KUSS

JEAN-LEONARD KOECHLIN

Né le 26 janvier 1870 – Décédé le 12 mai 1951 , à l'âge de 81 ans (Mulhouse). Marié le 7 avril 1894, Paris, avec Marguerite Villard né en 1872. Général de brigade.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
APPOLONIA BERGER
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ELIAS LIECHTEISEN
SALOME KRIEGELSTEIN
I
CONRAD GUNTZER
BARBARA LIECHTEISEN
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MARTIN BIRR
MARIA GUNTZER
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ELIAS BIRR
MARIE MADELEINE FISHER
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JOHANNES BIRR
CATHARINA SCHOEN
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MATHIEU MIEG
CATHERINE BIRR
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MATHIEU MIEG
CLEOPHE ABT
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MARIE MADELEINE MIEG
JEAN DOLLFUS
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DANIEL DOLLFUS
ANNE MARIE MIEG
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MARIE MAD DOLLFUS
JEAN KOECHLIN
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ALFRED KOECHLIN
EMMA SCHWATZ
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JEAN-LEONARD KOECHLIN
MARGUERITE VILLARD

FREDERIC GEORGES HERR

Frédéric-Georges Herr est un général français né le 7 mai 1855 à Neuf-Brisach (68), mort à Paris le 27.10.1932, inhumé à Pont-de-Roide. Fils d'un médecin qui opta pour la France après le Traité de Francfort, il entra à l'École Polytechnique en 1874 et entra dans l'armée, comme le faisaient alors la plupart des polytechniciens. Le 17 septembre 1883 il épousa Anne Peugeot, appartenant à la famille des constructeurs automobiles. De 1895 à 1902, il prit une part active à la campagne de Madagascar sous les ordres du général Gallieni. Général de brigade le 23 mars 1911 puis général de division le 27 octobre 1914, il se distingua aux Éparges en 1915 puis fut chargé de remettre en état les défenses de Verdun (09/08/15-26/02/16) : ce fut lui qui reçut le premier choc de l'offensive allemande. Par la suite il fut directeur de l'artillerie aux armées.
Placé dans le cadre de réserve le 24 octobre 1919, il entra au Conseil d'administration des Usines Peugeot en qualité de membre de la famille.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
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BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
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RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
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MARTIN KRIEGELSTEIN
MARIA HAEGLIN
I
MADELEINE KRIEGELSTEIN
GEORGES HERR
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JEAN HERR
SALOMÉ ORTLIEB
I
JEAN GEORGES HERR
MARIANNE BURGER
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JEAN-GEORGES HERR
ANNA MARIA GRAFF
I
JEAN-GEORGES HERR
MARIE-CATHERINE HOCHSTETTER
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GEORGES-BENJAMIN HERR
MADELEINE ROSE
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BENJAMIN HERR
CATHJERINE SIMON
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GEORGES HERR
MARGUERITE CABANET
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FREDERIC GEORGES HERR
ANNA PEUGEOT

JOSEPH-GILLES-MARTIN BRUNETEAU DE SAINTE-SUZANNE.

Comte de l’Empire. Général de division. Sénateur de l’Empire. Conseiller d'Etat
Lieutenant-général. Pair de France. Grand-Officier de la légion d'honneur

Né le 7 mars 1760, à Sainte-Suzanne, commune de Poivres, en Champagne (Aube). Marié à Dorothée Catherine, Zorn de Bulach (1776-1807). Décédé le 26 août 1830, à Paris (Seine). Inhumé dans le tombeau familial de l’ancien cimetière de Hangenbieten (Bas-Rhin), contre le côté sud de la nef de l' église. Il entre dans l'armée et devient lieutenant en premier au régiment d'Anjou en 1779. Lorsque la Révolution française éclate, il en adopte les principes, combat avec distinction dans les rangs de ses défenseurs et se signale à la défense de Mayence. Il parvient rapidement au grade de général de brigade, qu’il obtient en l’an III, et se fait remarquer à l’armée de Rhin-et-Moselle. Le 1er floréal an X, Napoléon Ier le nomme Sénateur ; il est depuis longtemps conseiller d’État et est attaché à la section de la guerre. Il est nommé grand officier de l’ordre de la Légion d'honneur, le 25 prairial an XII. C’est Bruneteau de Sainte-Suzanne qui annonça au ministre de la guerre, l’arrivée d’une flotte anglaise, devant Flessingue (Expédition de Walcheren), et déclara qu’il restera à son poste malgré sa santé chancelante. Dans tout le cours de sa carrière législative, il ne cesse de faire partie de l’opposition constitutionnelle. Il publie en 1819 un ouvrage sur les places fortes qui a obtenu les suffrages du général Lamarque et du maréchal Saint-Cyr.

LOUIS-HUBERT LIAUTEY

Lyautey fut tout à la fois, soldat, pacificateur, colonial, administrateur, négociateur, homme de management et de communication, bâtisseur et urbaniste, écrivain, pédagogue, artiste et protecteur des arts.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
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LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
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BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
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LUDWIG KRIEGELSTEIN
APPOLONIA BERGER
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ELIAS LIECHTEISEN
SALOME KRIEGELSTEIN
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CONRAD GUNTZER
BARBARA LIECHTEISEN
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MARTIN BIRR
MARIA GUNTZER
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ELIAS BIRR
MARIE MADELEINE FISHER
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JOHANNES BIRR
CATHARINA SCHOEN
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MATHIEU MIEG
CATHERINE BIRR
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MATHIEU MIEG
CLEOPHE ABT
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MARIE MADELEINE MIEG
JEAN DOLLFUS
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DANIEL DOLLFUS
ANNE MARIE MIEG
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MATHIEU DOLLFUS
SALOME KOECHLIN
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ANNA LEONIE DOLLFUS
PHILIPPE DE BOURGOING
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INES DE BOURGOING
LOUIS-HUBERT LIAUTEY

JEAN-GEORGES VON EDIGHOFFEN

Il entra sous le nom de code Dico, au régiement de Beaune (68ème RI) en 1777.
Il servit pendant 2 ans et prit part à l'expédition contre Gibraltar en 1782.
Congédié pour ancienneté de service, avec le grade de segrent le 8 janvier 1791, il s'engagea le même mois au 6ème bataillon des volontaires du Haut-Rhin au service duquel il fut élu capitaine le 8 août 1792.
Il fit comme tel la campagne de l'armée du Nord de 1792 à 1794, combattit à HondschootE, Maubeuge, Jumet et pris part aux sièges de Charleroi et de Maastrich.
Paré à l'Armée du Rhin an 1796, il servit aux 2 passages du Rhin. A l'armée de Mayence en 1798, à celle d'Helvitie en 1799, il fut blessé à Zurich le 2 juin 1799.
Employé à l'armée du Rhin en 1800, il fut envoyé en parlementaire chez l'ennemi et fut, lors de sa mission, grièvement blessé par trois coups de sabre à la tête.
Chef de bataillon aux grenadiers à pied de la garde en 1803 et colonel du 28ème Régiment au camp de Saint-Omer en 1804.
Il fit la campagne d'Autriche en 1805 et servit à Austerlitz, celle de Prusse en 1806 lors delaquelle il se distingua à la bataille de Pulstück le 26 décembre 1806, ce qui lui valut d'être aussitôt promus au grade de Général de brigade.
Admis à prendre sa retraite, il obtint une donation de 2000 Frs de rente sur la Westphalie le 15 juillet 1810, en même temps il fut crée chevalier de l'Empire par lettre patentes.

SYMON KRIEGELSTEIN
MARGARETH HECKER
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
NN
I
BENEDICT KRIEGELSTEIN
NN
I
RUPPRECHT KRIEGELSTEIN
MARGARETHA WERLIN
I
LUDWIG KRIEGELSTEIN
CLEOPHE MOLLER
I
CLEOPHE KRIEGELSTEIN
VALENTIN BARTH
I
URSULA BARTH
FRÉDÉRIC BINDER
I
MADELEINE BINDER
ANDREAS SANDHERR
I
MARIE SALOMÉ SANDHERR
JEAN JACOB SCHNEIDER
I
MARIE SALOMÉ SCHNEIDER
JEREMIAS VON GOCHNAT
I
MARIE SALOMÉ VON GOCHNAT
MATHIEU VON EDIGHOFFEN
I
JEAN-GEORGES VON EDIGHOFFEN
ANNA BIRCKEL

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